Le magazine Napoléon 1er Revue du Souvenir Napoléonien s'adresse à un large public de passionnés, mais aussi aux amateurs d'une période historique riche et complexe, dont l'héritage est omniprésent en France et en Europe.
ÉDITO
LES CHRONIQUES DE BOILLY
IMAGES D’UN RÈGNE
HOMMAGE À GRANDCHAMP
L’ÉPOPÉE EN PEINTURES
En bref
NOUVELLE MUE À FONTAINEBLEAU
AGENDA
HORS SÉRIE
AUTOUR DE L’EMPEREUR
ESPIONS ET INFORMATEURS SOUS L’EMPIRE
Schulmeister L’ESPION DE L’EMPEREUR • Des hommes qui entourèrent l’Empereur, chacun en retient une image telle celle de Talleyrand associée au bas de soie, de Fouché ou « La passion de trahir », de Ney « Le brave des braves ». Il en est un en revanche qui divisait déjà ses contemporains : Charles Schulmeister. Pour Napoléon, « cet homme en vaut quarante mille » aurait-il affirmé; pour Fouché, Schulmeister était un « vrai Protée de l’information »; pour Lezay-Marnézia, il était « magnifique »; pour Alain Montarras dans le Dictionnaire Napoléon de Jean Tulard, c’était un « James Bond ». Et, plus récemment, en référence à Savary, Thierry Lentz ne le qualifiait-il pas de « séide du séide » (1) ?
LES AFFIDÉS DE SCHULMEISTER
Nicolas-Auguste Tournal ESPION DE NAPOLÉON, PRISONNIER EN RUSSIE DE 1815 À 1825 • Après 1812, des milliers de soldats de la Grande Armée ont été faits prisonniers par les Russes. Qu’ils soient Français, Suisses, Allemands, Italiens ou Belges, ils ont parfois connu des épisodes difficiles. La plupart sont rentrés dans leurs foyers à partir de 1814 ou 1815. Néanmoins, certains sont restés au-delà du Niémen quelques années supplémentaires. Quelques-uns ont même fait souche en Russie et ont encore des descendants dans ce pays (1). Parmi ces prisonniers, l’un d’entre eux a eu un parcours original…
SUR LES TRACES DE NICOLAS AUGUSTE TOURNAL
ÉDITIONS SOTECA
Le maréchal Augereau de retour à La Houssaye en 1806
ABONNEZ-VOUS • Le premier magazine du Consulat et de l’Empire avec les meilleurs historiens et spécialistes de la période
Le Domaine extraordinaire LA GUERRE NOURRIT LA GUERRE • « Vous devez avoir pour principe que la guerre doit nourrir la guerre », recommande Napoléon au maréchal Soult lors de sa nomination, le 14 juillet 1810, alors qu’il est général en chef de l’armée du Midi en Espagne. Or, « si la guerre devait nourrir la guerre, la paix devait, après la victoire, fournir la récompense » (1). Cette récompense, l’Empereur des Français la puise, à sa guise et sans aucun contrôle autre que sa volonté, dans une caisse que l’on appelle le Domaine extraordinaire. Cette caisse est l’essence même du système napoléonien : alimentée par les victoires militaires françaises, elle vise à récompenser, sur la base du mérite, militaires et civils ayant fait preuve de courage ou de dévotion envers la patrie.
Le général Cervoni L’AUTRE OFFICIER CORSE VAINQUEUR DU SIÈGE DE TOULON • « Ma mort sera la honte de ma vie, si je ne meurs pas de la mort des braves. » Jean-Baptiste Cervoni (1765-1809), général baron d’Empire, a son nom gravé sur l’Arc de Triomphe. Rien à première vue ne le prédestinait à faire une telle carrière.
COMPLETEZ VOTRE COLLECTION
La poésie sous le Premier Empire ENTRE CLASSICISME ET FRÉMISSEMENTS ROMANTIQUES • À l’instar de presque toute la production littéraire sous le Premier Empire, largement ignorée du grand public, cantonnée dans les histoires littéraires détaillées, souvent décriée, voire méprisée, considérée parfois comme ayant été à la botte du pouvoir, la poésie des années 1800-1815 est encore aujourd’hui sous-évaluée.
SECONDE VEILLÉE
LA CHUTE DES FEUILLES
ÉDITIONS...