Napoléon 1er Magazine

Le magazine Napoléon 1er Revue du Souvenir Napoléonien s'adresse à un large public de passionnés, mais aussi aux amateurs d'une période historique riche et complexe, dont l'héritage est omniprésent en France et en Europe.

ÉDITO

CONFÉRENCES ET COLLOQUE

TIMBRE DU BICENTENAIRE

À SAINTE-HÉLÈNE

OBJETS EN VENTE

RESTAURATION ET CRÉATION

À TRAVERS LA FRANCE

LES VILLES IMPÉRIALES

EN KIOSQUE

L’HISTOIRE EN FIGURINES

PREMIÈRE DÉCOUVERTE

PROGRAMMATIONS SPÉCIALES

DE PARIS À L’ÎLE D’AIX EN PASSANT PAR WATERLOO

En bref

ÉDITIONS SOTECA

AUTOUR DE L’EMPEREUR

L’APOTHEOSE DE NAPOLEON

NAPOLÉON SE RACONTE de A à Z • Les longs mois passés à Sainte-Hélène permettent à l’Empereur de se confier. Au fil des conversations, nombreuses sont ses pensées qui reviennent à la surface, à la fois dans le domaine privé ou dans la sphère publique. Et les sujets sont variés – politiques, économiques, religieux et militaires, parfois plus intimes. Extraits choisis, classés par ordre alphabétique.

LES TÉMOINS

DISPONIBLE EN VERSION NUMÉRIQUE

6 révélations SUR NAPOLÉON À SAINTE-HÉLÈNE • À propos du dernier exil de l’Empereur, de nombreuses découvertes sont encore possibles. La preuve est apportée dans les six réponses aux questions suivantes.

MORT DE NAPOLÉON Une agonie abrégée par… les médecins britanniques • Grâce aux témoignages des compagnons d’exil de Napoléon à Sainte-Hélène et aux comptes-rendus de son autopsie, nous connaissons désormais le diagnostic et surtout le mécanisme de sa mort. Il souffrait d’une maladie relativement bénigne qu’il supporta pendant plus de cinq ans, avec laquelle il aurait pu vivre encore plusieurs mois voire plusieurs années si les médecins britanniques, contre l’avis du docteur corso-toscan Francesco Antommarchi, ne lui avaient pas prescrit un remède létal dans son état.

ÉDITIONS SOTECA

NAPOLÉON L’autre crucifié • Le héros a souffert, autant qu’il a brillé. L’ombre de la défaite l’a pourtant paré d’une aura plus mystique encore que l’auréole de la gloire. En Napoléon, la dimension sacrale, rédemptrice, s’est cristallisée dans la chute. Mû par un dessein d’universalité qui a très largement débordé le champ des conquêtes militaires et territoriales, Bonaparte s’est, comme il l’a dit lui-même, « offert en sacrifice » à la haine des ennemis de la France pour que lui survivent son œuvre et la paix. C’est dans cette apparente déchéance que se révèle une véritable grandeur – certes moins irradiante, moins grandiose que les lauriers d’or qui ont couronné sa tête impériale le jour du sacre – mais assurément plus humaniste et profonde. Avec son éviction, sa relégation au bout du monde, le mépris dont il a été le réceptacle, sa lente agonie et sa mort solitaire, son image s’est régénérée. Il a connu une renaissance dans l’imaginaire collectif, évocation diffuse, souterraine mais prégnante de la Résurrection du Christ qu’on avait également d’abord adoré, puis exécré, immolé et enfin divinisé.

Éloge funèbre de Napoléon PRONONCÉ PAR LE GRAND MARÉCHAL BERTRAND • Qui, mieux que le général Bertrand, grand maréchal du Palais, pour bénéficier du privilège de prononcer l’éloge funèbre de Napoléon, lui le fidèle des fidèles, lui qui ne sollicita jamais la moindre faveur, lui tellement tiraillé entre l’amour voué à son épouse Fanny et les devoirs incombant à sa charge ? Cet honneur devait naturellement lui revenir. Par ce vibrant hommage rendu à son Empereur, on imagine l’immense émotion qui s’empara de tout son être, le 9 mai 1821, devant la tombe à...