Le magazine Napoléon 1er Revue du Souvenir Napoléonien s'adresse à un large public de passionnés, mais aussi aux amateurs d'une période historique riche et complexe, dont l'héritage est omniprésent en France et en Europe.
ÉDITO
LES BONAPARTE ET L’ANTIQUE
POUR LE MEILLEUR ET POUR L’EMPIRE
UN REPAS PEU ORDINAIRE
LE TOMBEAU DE BASTE
AUTOUR DE LA ROUTE DES ALPES
LE PRÉSIDENT DES APN DÉCORÉ
Agenda
L’EMPIRE À LA CAMPAGNE
LES PALAIS DISPARUS DE NAPOLÉON
UN BICORNE CHEZ SOTHEBY’S
BERNARD, ALBERT ET L’EMPEREUR
En bref
RECONSTITUTIONS ET DÉFILÉS
LES HEROS DE NAPOLEON
Napoléon et les livres • Dès sa petite enfance, Napoléon a été un très grand lecteur. Dans ses Mémoires, Joseph Bonaparte raconte que son frère a très tôt pris l’habitude d’emmener partout avec lui une grande malle pleine des « œuvres de Plutarque, de Platon, de Cicéron, de Cornelius Népos, de Tite-Live, de Tacite, traduites en français; celles de Montaigne, de Montesquieu, de Raynal ».
LA BIBLIOTHÈQUE DU CHÂTEAU DE FONTAINEBLEAU
UNE ATMOSPHÈRE PARTICULIÈRE
DES ANNOTATIONS RÉVÉLATRICES
L’influence antique DANS L’ESTHÉTIQUE DE LA PUISSANCE NAPOLÉONIENNE • L’aísthêsis, en grec ancien, renvoie à la faculté de percevoir, à la perception, qui a donc rapport au sentiment du beau et à sa perception. Or on conviendra que la perception du beau, surtout lorsqu’il s’agit de puissance, est intimement liée aux références évoquées, implicitement ou explicitement, à l’imaginaire auquel elles sont liées, cet imaginaire qui « résulte de son aptitude à la fabulation et la mythification des événements »(1). En effet, on ne peut percevoir ce qui est beau et ce qui est esthétique qu’en prenant un point d’appui sur le passé. Selon Jean Caune(2), la fonction de l’esthétique est de témoigner de la vie imaginaire des hommes.
Quiz Historik’ • Connaissez-vous Napoléon Bonaparte?
L’exemple du roi Théodore SOUVERAIN ÉPHÉMÈRE DE LA CORSE • Théodore Von Neuhoff et Napoléon: deux personnages dont le rapprochement aura été rendu complexe par l’histoire, tant les contextes et leur situation ont été de trop différents. Le premier, souverain des Corses à partir de 1736, a régné effectivement quelques mois faute de réussir à pérenniser sa monarchie. Le second, in fine, ne parviendra pas non plus à installer sa dynastie sur le trône de France. Mais contrairement à Théodore, Napoléon, même défait, est victorieux, car son héritage a changé la face du monde. « Ma vraie gloire n’est pas d’avoir gagné quarante batailles; Waterloo effacera le souvenir de tant de victoires; ce que rien n’effacera, ce qui vivra éternellement, c’est mon Code civil », a-t-il écrit. L’échec de la Restauration, pourtant porteuse de belles promesses, achève de consacrer un Napoléon victorieux devant l’histoire, lui qui a prédit l’avènement au trône d’un Louis-Philippe, conciliateur, se faisant roi national. Théodore ne bénéficie pas de la même postérité. À défaut, il sera, pour une partie considérable de l’historiographie, un « aventurier » avec toute la connotation péjorative que cela comporte, et ce, même si Napoléon nous met en garde, car « on a de fausses idées sur le roi Théodore » (1).
ÉDITIONS SOTECA
Dans les fourgons partis de Moscou
ÉPHÉMÉRIDES • Il y a 250 ans
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La bataille de Castiglione 5 août 1796 LA « MANIÈRE » À L’ÉPREUVE • Devant la fulgurante progression de l’armée d’Italie de Bonaparte, les Autrichiens – après plusieurs...